Absence

Portraits par Caroline Arnoult

" On me voit, on me voit plus "

Long short story

Quel est ce long silence et cette absence par ici ?! Mon dernier article date de plus de 6 mois.  What’s happens ? J’ai envie de vous répondre : la vie !
Alors pourquoi je ne suis pas revenue ici, sur ce petit bout d’internet, dans cette bulle ? Et bien si cela vous intéresse, faites chauffer le thé, prenez, disons… 10/15 minutes devant vous… et merci par avance ! Petite mise en garde : Cela va être long, vous apparaitra sans aucun doute perché, peut-être in-intéressant, peut-être qu’il fera écho en vous… Bref, à vous de voir ce que vous en tirez, et si ça vous parle  😉

Cela fait plusieurs semaines où l’envie de revenir est présente. L’envie est là car je vais mieux, ou dû moins je me se sens mieux. Et puis, le virus, le covid-19 est arrivé, et le confinement avec. Plusieurs jours que l’on vit tous au ralenti. Cette parenthèse, est un prétexte qui me pousse à me poser, pour enfin vous parler de ces derniers mois. Alors j’aurais pû faire :  » Hey salut, je fais des broderies et des ateliers pour apprendre à broder,  c’est cool, venez !  « , ou vous dévoiler des shootings que j’avais fait avec de talentueuses photographes. Mais non, je ne pouvais tout simplement pas revenir « comme si de rien n’était », après ces 6 mois d’absence. Cet article de « transition » était vital. Comme dans la continuité du premier article de mon jOurnal, sur ce site,  je désire aussi montrer l’envers du décor , et présentement ce qui s’est tramé dernièrement dans ma tête. Et avant de vous parler de cette collection qui se construit, encore dans l’ombre, il m’était donc nécessaire que je me raconte. Car tout est LIÉ.

Voici un récit de ce que j’ai vécu dans ma tête et mon coeur ces derniers mois.

#3615malife

L'Origine du "mal"

Depuis la fin de l’année dernière je traverse des passages de doutes, de remise en question, de sens à tout ce qui m’entoure. J’ai un sentiment d’insignifiance pour ce que je crée et par la même ce que je suis ( merci la non-confiance en soi + 10 points bonus pour le syndrome de l’imposteur). Ce n’est malheureusement pas la première fois que j’ai ce ressenti, il a même tendance à dicter ma vie. Ce mal-être qui survient chez moi de façon récurrente, je le vis probablement depuis mon adolescence, peut-être même avant. [ça y est les premières larmes coulent]. Dans mes souvenirs, j’étais le genre d’enfant sage à ne pas faire de vague. A être studieuse. L’intello de la classe, timide, réservée ( oui celle qui avait des lunettes ). J’étais souvent dans ma chambre à créer et à dessiner, sans nul doute une manière de m’exprimer.
Dans ma famille, comme la plupart des familles de la génération de nos parents, la communication n’était pas au rendez-vous. Elle est encore difficile à l’heure actuelle. Comme si l’on étaient tous embarrassés de nos propres émotions et sentiments… ainsi que ceux des autres.
On se crie rarement dessus, on partage des moments de rire, mais on ne se rencontre pas vraiment…

Dans ce microcosme familial, on fonctionne tous avec nos propres mécanismes que l’on a perfectionné au fil des années. Mes réflexes de réactions ainsi que ceux de mes proches, sont devenus pesants. Au delà, il y a certainement la pudeur, mais notre incapacité à échanger émotionnellement sont des barrières qui nous empêchent de nous lier autrement que par le sang. On se côtoie par réflexe. Dans la peur d’être Soi, On se raccroche au souvenir d’une vie partagée, et du rôle qu’on occupait tous. J’en suis triste.

Un souvenir révélateur de ce (dys)fonctionnement fût le jour du 11 septembre 2001. Attentat du World Trade center à New York. J’avais 14 ans.
En rentrant du collège, voir ses avions qui viennent se crasher dans ses tours jumelles, a été terrifiant. Je me suis dis que je n’avais pas envie de faire partie de ce monde. Je me suis retrouvée là à ne pas savoir quoi faire de toutes ses émotions qui débordaient de moi. J’ai été pleuré dans ma chambre, démunie, et sans explications de cette réalité violente. Ce monde ne tournait pas rond.
J’étais en colère face mes parents. Enfant, je n’en avais certainement pas conscience. Pourquoi m’avoir fait naître dans ce monde, m’avoir mis dans les mains de ce monde, je n’en voulais pas. Ces guerres, je n’en voulais pas, je n’étais pas en mesure d’accueillir cette violence, je n’avais pas les armes.
Dépression bonjour !

Extraits de mon carnet de gribouillages/pensées – 2007 – 20 ans et déjà une grosse joie de vivre !

" c'est l'histoire de la viiiiie, le cycle éternel "

MOrt, vie, latence

Oui c’est pas la partie la plus gaie !

Quand je me revois adolescente j’ai le sentiment d’avoir vécu des phases de dépression. Plutôt pessimiste sur la réalité de ce monde et ce futur, je me détachais face au monde dans lequel je vivais. Une amie en Terminale, avait été étonnée de mon pragmatisme à l’épreuve du bac : Avoir une bonne ou mauvaise note n’était pas d’une importance capitale en soi, cela ne changeait pas la face du monde , n’arrêtait pas les guerres, la famine, la violence. Grosse ambiance… et c’est pas fini.
Je me voyais mourir jeune.  Plus je me rapproche en âge, de l’instant où je me voyais morte, plus c’est compliqué…
Cela a énormément conditionné ma vie, cela continue encore : je dois gérer avec cette croyance.
La peur d’aller de l’avant, La peur de se jeter à l’eau, de s’engager. Pourquoi construire quand on ne voit pas de futur ? Après l’école, les diplômes, c’était quoi concrètement la prochaine étape ? Avoir un boulot, ok ? Avoir un époux, des enfants, une maison avec clôture blanche ? (Tiens, tiens des symboles d’engagement…) Nope, not MY dream.  Mais du coup c’est quoi mon rêve ? C’est quoi mon envie ? et surtout je fais comment ?
On fait comment quand la peur, les peurs, prennent le dessus. La peur de l’échec, la peur de la réussite, la peur de mal faire, la peur que ce ne soit pas juste.
Et bien… on ne fait pas. On attends.
J’ai attendu, et j’attends encore parfois. L’inaction (a) régit ma vie d’adulte. J’ai donc passé une grande partie de mon existence à être spectatrice de ma vie. Et même spectatrice tout court. Attendre que quelque chose se passe, mais quoi ? Alors, les divertissements ne manquent pas. Séries, films, relations superficielles, j’use de parades pour ne pas aller là où ça fait mal. Là où ça cloche, Là où le mal-être grignote. Je me coupe de mes émotions. Je n’ai pas appris à les gérer, à les digérer… Je me coupe de moi . Plus on grandit et plus on s’inscrit dans des schémas, on use de masques. On excelle dans l’art de se divertir, de se détourner de soi. On se perd en chemin. Je suis devenue experte.

 

Portraits par Caroline Arnoult

" Me, Myself and I "

Masques et émOtiOns

Fin 2019, je traverse donc une nouvelle fois des remises en question, mais encore plus profondes que celles auparavant.
Le déclencheur cette fois-ci a été la fin d’une relation amoureuse. Pendant plusieurs jours, j’ai essayé de décortiquer, de coucher mes émotions sur le papier. C’était la seule chose que je pouvais faire. J’ai eu l’impression de traverser un brouillard.
Pourquoi j’avais agit de telles façons durant cette relation ?
Quels masques j’avais pû mettre ?
Quels mensonges je m’étais raconté à moi-même ?
Quelles étaient mes peurs?
Pourquoi je n’avais pas oser exprimer clairement mes besoins
Pourquoi je n’avais pû montrer ma vulnérabilité ?
Je rentre à nouveau dans une phase d’inaction. Tout se déconstruit. Masques, personnages, réalités.
Inception sans Léonardo DiCaprio.

Ma remise en question revient sur des territoires que ma conscience a beaucoup exploré. Mondialisation de mes émotions, Globalisation de mes échecs.
Pourquoi je crée cela ?
Quel est le sens de tout cela ?
Pourquoi je vis ? (Pourquoi je meurs … je vous ai mis la chanson dans la tête, avouez ?!)
Quelles sont mes motivations profondes ?
Est-ce que, ce je que fais, à de l’importance ?
Est-ce que, c’est aligné avec mes propres valeurs ?
Quelles sont mes valeurs ?
Qui-suis-je ?
Toutes ces questions sont comme des poupées russes.

Passés ces jours de pensées qui tournent en rond, deviennent stériles, je recommence à faire des choses qui me font plaisir, qui me font me sentir bien. Pâtisser, lire, prendre soin de moi. Ce sont mes palliatifs nécessaires pour retrouver un semblant de santé mentale. Le répit fût de courte durée.
Je doute à nouveau de moi, d’hOpsie, de ce que je propose ICI. J’ai peur de la dispersion.
Au fond, qui suis-je ?
Ces derniers MOI [le lapsus d’écriture], je ne me reconnaissais pas… est-ce que c’était un nouveau moi ? Irascible, tantôt extrêmement joyeuse et tantôt profondément triste, des montagnes russes à n’en plus finir. J’avais l’impression d’être une équilibriste sur la corde raide. J’appréhendais toute situation d’inconfort car il pouvait être un détonateur à ma colère, frustration. Je me sentais agitée.

Faire les bonnes rencontres

Le chemin vers sOi

Fin novembre, dans ce climat intérieur, je vois passer une story sur Instagram de Ma demoiselle Pierre ( de son nom Stéphanie Allerme ).
Elle annonce sa venue sur Paris et propose des créneaux pour des consultations holistiques, elle utilise des outils comme la numérologie, l’ayurvéda.
Mon cœur me crie  » VAS-Y ! « , ma raison me dit « Tu n’as rien à perdre » . Je me lance et la contacte.

Pour vous parler un peu d’elle :
J’admire son parcours et j’ai découvert sa capacité de résilience. Depuis 2019, après son deuxième burn-out, elle explore, suis son instinct. Anciennement créatrice de bijoux et directrice d’agence, son chemin de guérison l’a amené bien loin des sentiers sur lesquels elle était. L’ayurvéda, le yoga nidra, les bains sonores, la numérologie, elle explore et se ré-aligne, sa mission de vie :  aider, accompagner les entrepreneur.se conscient.e.s .

Le rendez-vous est donc pris. Le lundi 25 novembre 2019, après nous être souvenues d’un autre-temps (nous nous étions déjà rencontrés il y a une dizaine d’années), la discussion commence, s’étire. Ces 2 heures de consultation qu’elle m’a accordé m’ont fait un bien fou ! Mon énergie en sortant n’était absolument pas la même. Les personnes que j’ai retrouvées au sortir de cet entretien/rencontre avec moi-même, peuvent en témoigner ! Les indices sont là, tout est en moi, j’ai décidé de m’aventurer sur le chemin.

Lire

Des maux penseurs au mOts panseurs

Décembre 2019. Noël arrive. Je retourne dans la maison familiale, pour passer les fêtes de fin d’année. Les jours s’écoulent entre 2 parties des Aventuriers du rail, de belotes, de repas et de marches matinales avec ma mère. Lors de ces randonnées, mon cœur pesait lourd…
Je n’arrivais toujours pas à parler du fond. Le cœur au bord des lèvres. Les réflexes et les masques reviennent : Auto-censure de mes émotions. Je n’ai pas le cœur à la fête.
Je me plonge alors dans la lecture des 2 livres que j’ai emmené avec moi pour ces fêtes :

  • J’aborde enfin celui de Lise Bourbeau « les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même« .
    Parfait contexte pour aller rechercher qui l’on est vraiment. Ce livre agît comme un MIROIR. Quelles blessures intérieures me montrent mon physique ? Abandon, Trahison, Injustice ? J’explore les pistes et repart sur le chemin de l’enfance. Il allait falloir que je creuse encore plus loin. Questionner mes parents pour trouver mes blessures, comprendre mes masques [still processing] .
  • En parallèle de cette lecture, je me décide à enfin ouvrir le dernier tome de La Passe-miroir de Christelle Dabos. Je l’ai acheté à sa sortie, un mois qu’il dort sur mes étagères. Je redoute un peu la fin de cette saga. Cette histoire, c’est comme un Harry Potter. Le genre d’histoire où l’on perd la notion du temps car l’on vit avec les personnages, absorbé.e dans leur monde. Cette série littéraire, classée dans la rubrique Young adult, n’est pas une lecture classique de ce genre. Dans un univers complètement fantastique, on suit les aventures d’une jeune femme Ophélie. L’univers est dense, riche, mystique et philosophique. Ce quatrième volet, « la tempête des échos  » a été en résonnance complète de mes interrogations, et de ce que je traversais actuellement.

Mon passage à l’année 2020, année MIROIR, en ce 31 décembre et ce 1er janvier, s’est fait en compagnie de ce personnage « la passe-miroir ».  Son enseignement  était là depuis le tome 1 : De l’urgence d’être réellement honnête envers soi-même (en particulier lorsque l’on s’observe dans un miroir). De se connaître entièrement, ses pars d’ombre et de lumière. De ne pas avoir peur d’être vulnérable. D’avoir parcouru tous ses recoins pour être fidèle à soi. Ne pas s’excuser d’être les 2 côtés d’une même pièce.

« Qui suis-je ?  » « Qui est-je ? »
> N’oublie pas, fais-toi confiance <

Les mots, qui depuis plusieurs semaines, résonnaient dans le creux de mon âme, sont apparus clairs :
MASQUES, MIROIR, ÉCHO, OMBRE, LUMIÈRE, MONDES INVERSÉS, INVISIBLE.
Perception de soi, perception des autres et du monde.
Le passage à 2020 a accéléré tout cela.

Invoquer la Valérie Damidot en soi !

(Dé)-(Re)-cOnstruire et expérimenter

En ces premiers jours de 2020, je commence à écrire dans un carnet. J’écris pour me souvenir. Pour sortir aussi de ma tête. C’est une méthode salvatrice et bénéfique. Je remonte le fil, explore [still processing]. Le prétexte pour débuter l’écriture a été le rituel des 12 jours proposés par Camille Sfez . Pendant 12 jours, méditer pour visualiser notre demain. 1 jour pour 1 mois de l’année. Poser une intention. Pour la flippée de la projection que je suis, c’est un premier pas ! J’essaye. Je n’ai rien à perdre. J’ai semé mes graines pour ces prochains mois. Cette pratique me fait du bien . Je continue d’écrire dans un carnet, de façon sporadique.  Je laisse passer sur le papier. Cela me permet de ne pas m’attacher à certaines émotions trop fortes à gérer. La période se calme puis les émotions s’intensifient. Le désir d’hurler est là. Je me libère progressivement de mes schémas :
Faire plaisir aux autres.
Faire passer le besoin des autres avant les miens.
Faire en sorte que l’autre soit prioritaire.
S’abandonner soi-même dans le don de soi aux autres.

J’ai l’urgence de revenir à moi, et prendre soin de moi.  » Qui suis-je « 

Fin janvier, je creuse encore, j’explore. 2ème main tendue, et cri du cœur. Je participe à un atelier de reconnexion à soi, initié par Stéphanie Allerme à son retour du Guatemala. Elle nous demande de formuler notre intention, pour cet instant. Le mien est l’ÉQUILIBRE ( mon sentiment de dispersion, et de ne faire les choses qu’à moitié est toujours présent ).
Nous étions là, toutes en cercle, avec nos peurs, nos incertitudes, mais aussi chargées d’une grande bienveillance mutuelle . Vulnérables et fortes à la fois, de chacunes se livrer aux regards des autres. Je me suis sentie bouleversée. On a couru, donné des coups de poings à nos peurs, parlé dans des langues inconnues, dansé dans notre futur ( notre vie parfaite dans 5 ans ) chanté, visualisé et dessiner notre futur, échangé… le tout s’est fait dans une totale vérité, une totale honnêteté. J’ai eu l’impression d’être dans la peinture qui fait office de couverture au livre « Femmes qui courent avec les loups « .
C’était perturbant et puissant à la fois.  [Bon là, c’est peut-être le moment où vous vous dites, elle est timbrée/perchée… ] En fin d’atelier, vient la session de yoga nidra, mon corps bouillonne d’énergies, mes larmes coulent à nouveau.
A la fin, Stéphanie nous propose de tirer une carte, en repensant à notre intention. Ses cartes représentent toutes des femmes, des déesses.
Je tire la carte de Guenièvre, la carte de l’AMOUR VÉRIDIQUE. Mon intention était le désir d’équilibre, je suis étonnée par ce tirage mais j’accueille le message !

2 Semaines plus tard, Je vais goûter chez une amie précieuse, qui est de bons conseils en développement personnel, elle me propose de faire un tirage avec son nouvel oracle.
Je choisis le tirage des 3 cartes , la première symbolisant le passé, la seconde le présent, et la dernière le futur.
Mon tirage est tellement juste sur ma situation que j’éclate de rire (oui oui perchée je vous dis 😀 )

Passé : Timing
Présent : Lâcher-prise
Futur : Amour
Ok les gens là-haut, C’est QUOI ce message à deux semaines d’intervalles ?! Bon je vous épargne les sens de ces cartes, qui est assez évident, même s’il y a des nuances, cet article est déjà assez long !

" On fait le bilan calmement... "

Et la suite ?

58461 heures / 6052 litres de thé plus tard …

En cette année 2020, année miroir, décennie des possibles, je fêtais, en ce jour officiel de début de confinement, mes 33 ans. Une étrange époque, une étrange période.

Encore un signe : un âge miroir, dans une année miroir.
Qui suis-je ? « Qui est-je » ? Des mots qui font ECHO. Qui sont écho . (Perchée puissance 8000)

Alors, je n’ai pas encore une connaissance entière de mon ÊTRE, mais j’ai des éléments qui se dessinent, des comportements que je commence à apprivoiser, des besoins sur lesquels je dois assumer de m’exprimer.  J’ai envie d’explorer le transgénérationnel, l’héritage karmique, remonter les rivières.

Mon passage à 2020 s’est fait récemment. J’ai l’impression d’être passée de l’autre côté du MIROIR à mes 33 ans, lors de ce confinement, et d’avoir fait des bonds de géants. J’explore les possibles. J’apprends à ouvrir grand le Cœur. Mes pratiques journalières du yoga kundalini  (par Lili Barbery ) et du yoga nidra (par Stéphanie Allerme), m’ancrent. Dans ma quête d’équilibre de mes zones d’ombres et de lumière, j’ai trouvé une réponse évidente. Celle qui était en suspend et qui s’est mise sur mon chemin (celle sur laquelle je mise tout ) :
L’amOur est la clé. Revenir à sOi, S’aimer sOi, pour aimer les autres.  [#labase]

Et comme toute bonne parolière qui écrit ses plus belles chansons sur ses ruptures, je vous prépare une collection capsule inspirée de ses réflexions. hOpsie continue !  Je sais aussi que ce sera une étape vers encore PLUS.

Prenez soin de vous plus que tout, prenez soin de votre mental.
Aimez vos ombres et vos lumières.
Le pile et le face.
Faites en sorte que l’envers du décor soit aussi fort et beau que la scène.
Ayez conscience de vos masques, de vos blessures.

Si vous vous sentez prêt.e :
Suivez le lapin blanc, prenez la pilule rouge, et passer de l’autre côté du MIROIR.

A très vite ! Et un grand merci pour m’avoir lue.

Cet article a 8 commentaires

  1. Sophie

    Touchant. Merci pour ton partage ♥️

    1. Sophie Rivet

      Merci Sophie 💛💫 et merci pour tous tes audios. Hyper précieux !

  2. Myriam

    Magnifique

    Je suis émue par ton partage, par le chemin que tu suis en toi, ça résonne avec la moi d’il y a quelques années et j’admire ta persévérance.
    Tu es forte, Sophie.
    Et tu es magnifique.

    Merci du fond du cœur d’avoir entrepris cette recherche. Tu dégages énormément d’amour, merci pour ça, ça fait tellement de bien de t’avoir près de soi 🙏❤️

    Et bravo !

    1. Sophie Rivet

      Merci Myriam pour tous tes mots, merci pour nos échanges enrichissants !!! <3 <3

  3. AC

    Coeur sur toi ! Quel courage ce témoignage. <3

    1. Sophie Rivet

      Merci pour tout Aude-Claire 😉 <3 <3 <3

  4. Irene

    C’était long et passionnant <3
    Courage pour le trajet qui reste, et j'aime beaucoup l'idée d'avoir un âge miroir dans une année miroir… Plein de trucs font écho ici. Bravo d'avoir réussi à démêler tout ça pour l'écrire !
    Gros bisous !

    1. Sophie Rivet

      Merci Irène <3 <3 <3
      Touchée que ça te fasse écho. Les miroirs quand on commence à les voir, cela ne s'arrête pas !
      J'ai hâte de te revoir "en vrai" !
      Prends soin de toi, je t'embrasse <3

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